L’arthrose du genou


Les indicationsthérapeutiques:

Etiopathologie

L’arthrose du genou est devenue une pathologie fréquente qui touche un sujet sur 100 entre 55 et 64 ans. 2% des hommes sont touchés et 6,6% des femmes entre 65 et 75 ans. La gonarthrose est avant tout un problème mécanique favorisé par:
• Des déformations du genou : de l’axe fémoro-tibial, déformation en dedans (varus) ou déformation en dehors (valgus).
• Des altérations de la surface cartilagineuse avec des cals vicieux (mauvaise consolidation ostéo-cartilagineuse) des méniscectomies ou des ruptures ligamentaires en particulier la rupture du ligament croisé antérieur).
• L’obésité est un facteur de risque important. Parallèlement, les altérations biochimiques dans le cartilage apparaissent avec perte de propriété mécanique du cartilage.

DiaporamaProthèse du genou

Traitement

Il peut être médical ou chirurgical, les différentes OPTIONS et techniques chirurgicales dépendent de l’importance de l’usure du cartilage , de la déformation et de l’âge.

1) Lorsque le pincement de l’interligne articulaire est de moins de 50%

a) si le membre inferieur est axé : LE TRAITEMENT MEDICAL est suffisant.
Les règles hygiéno-diététiques sont souvent illusoires chez ces personnes en surpoids qui se déplacent peu.
Durant les périodes douloureuses et inflammatoires avec hydarthrose ( épanchement articulaire), un traitement antalgique et anti-inflammatoire sont utilisés, un repos relatif grâce à l’utilisation de cannes peut être adjoint.
La physiothérapie permettant un renforcement musculaire est parfois utile.Les infiltrations de corticoïdes doivent être réservées aux périodes hyperalgiques REBELLES avec hydarthrose (épanchement synovial)
L’injection d’acide hyaluronique (visco-supplémentation) pour améliorer la lubrification de l’articulation donne un bon résultat au début de la chondrolyse ( de l’arthrose) sur un genou asséché. Dans les stades plus avancés de l’arthrose, les résultats sont inconstants. L’arthroscopie pour enlever un ménisque dégénératif fissuré n’est pas indiquée quand l’arthrose est avérée car il y a un risque d’aggravation de l’arthrose après méniscectomie.
b) Si le membre inférieur est désaxé chez un patient de moins de 65 ANS avec un bon interligne contro latéral et avec des ligaments normaux sans surcharge pondérale importante, une OSTEOTOMIE DE REAXATION DU MEMBRE INFERIEUR qui permet de corriger la déformation en varus ( dedans) ou en valgus ( dehors) du genou est indiquée.
La réaxation diminue les contraintes fémoro-tibiales dans le compartiment du genou le plus usé et ralentit l’évolution arthrosique inéluctable de ce compartiment.
Les indications de ces ostéotomies sont peu nombreuses, les résultats environ : 70% de bons résultats après 10 ans.

2) Lorsque l’usure est de plus de 50%

a) Si la déformation du tibia est minime :
Inférieure ou égale à 5° et si l’usure ne touche qu’un seul compartiment sur un genou stable avec un ligament croisé antérieur intact, on peut proposer une prothèse unicomportementale qui resurface un seul compartiment du genou. Les indications de ces prothèses sont rares.
Ces prothèses ont donné de grands espoirs car les résultats à court terme sont très bons mais elles ont aussi donné des désillusions car l’espérance de vie de ces prothèses est limitée , il existe beaucoup d’échecs après 10 ans dus à l’usure inéluctable du plateau tibial en polyéthylène de la prothèse.
b) Lorsque le genou est très déformé (l’usure aggrave la déformation) et parfois instable chez des patients de plus de 60 ans, la prothèse totale du genou est indiquée.
Le but de ces prothèses est d’obtenir un genou non douloureux avec un axe restauré, un genou stable et une mobilité supérieure à 120° ce qui permet de monter et de descendre des escaliers normalement.ç
Actuellement, on utilise des prothèses semi-contraintes ne conservant pas les ligaments croisés, il s’agit de prothèses de resurfacage remplaçant les cartilages de l’extrémité inférieure du fémur et de l’extrémité supérieure du tibia et permettant de pallier les déficits ligamentaires .
L’utilisation d’un plateau en polyéthylène mobile sur un plateau métallique fixé au tibia permet de diminuer les contraintes en rotation au niveau de l’interligne articulaire et donc de diminuer l’usure du polyéthylène du plateau tibial.
L’amélioration de l’ancillaire de mise en place de ces prothèses permet de corriger de très grandes déformations, de retrouver un équilibre ligamentaire et de repositionner un interligne articulaire perpendiculaire à l’axe du membre inférieur.
Un bilan de l’état général doit être effectué avant la mise en place de ces prothèses. La récupération sanguine pendant l’intervention est permise grâce à un appareil que l’on appelle le Cell Saver qui récupère le sang pendant l’intervention et permet de le réinjecter immédiatement dans la circulation du patient.
Le résultat de ces prothèses est très bon avec plus de 90% de bons résultats à 20 ans si la prothèse est bien positionnée.
L’arthrose fémoro-patellaire isolée c’est à dire l’arthrose de la rotule est rare. Son traitement est le plus souvent médical et consiste en des anti-inflammatoires, des infiltrations en cas d’hydarthrose et de la kinésithérapie avec stretching (étirements sans musculation).
Il existe des prothèses fémoro-patellaires isolées (prothèse de rotule) qui sont peu posées.

L’arthrose du genou


Les indicationsthérapeutiques:

Ethiopathologie

L’arthrose du genou est devenue une pathologie fréquente qui touche un sujet sur 100 entre 55 et 64 ans. 2% des hommes sont touchés et 6,6% des femmes entre 65 et 75 ans. La gonarthrose est avant tout un problème mécanique favorisé par:
• Des déformations du genou : de l’axe fémoro-tibial, déformation en dedans (varus) ou déformation en dehors (valgus).
· Des altérations de la surface cartilagineuse avec des cals vicieux (mauvaise consolidation ostéo-cartilagineuse) des méniscectomies ou des ruptures ligamentaires en particulier la rupture du ligament croisé antérieur).
· L’obésité est un facteur de risque important Parallèlement, les altérations biochimiques dans le cartilage apparaissent avec perte de propriété mécanique du cartilage.

Traitement

Il peut être médical ou chirurgical, les différentes OPTIONS et techniques chirurgicales dépendent de l’importance de l’usure du cartilage , de la déformation et de l’âge.

1) Lorsque le pincement de l’interligne articulaire est de moins de 50%a) si le membre inferieur est axe : LE TRAITEMENT MEDICAL est suffisant

Les règles hygiéno-diététiques sont souvent illusoires chez ces personnes en surpoids qui se déplacent peu.
Durant les périodes douloureuses et inflammatoires avec hydarthrose ( épanchement articulaire), un traitement antalgique et anti-inflammatoire sont utilisés, un repos relatif grâce à l’utilisation de cannes peut être adjoint.
La physiothérapie permettant un renforcement musculaire est parfois utile.Les infiltrations de corticoïdes doivent être réservées au périodes hyperalgiques REBELLES avec hydarthrose (épanchement synovial)
L’injection d’acide hyaluronique (visco-supplémentation) pour améliorer la lubrification de l’articulation donne un bon résultat au début de la chondrolyse ( de l’arthrose) sur un genou asséché. Dans les stades plus avancés de l’arthrose, les résultats sont inconstants.L’arthroscopie pour enlever un ménisque dégénératif fissuré n’est pas indiqué quand l’arthrose est avérée car il y a un risque d’aggravation de l’arthrose après méniscectomie.
b) Si le membre inferieur est désaxé chez un patient de moins de 65 ANS avec un bon interligne contro latéral et avec des ligaments normaux sans surcharge pondérale importante, une OSTEOTOMIE DE REAXATION DU MEMBRE INFERIEUR qui permet de corriger la déformation en varus ( dedans) ou en valgus ( dehors) du genou est indiquée.
La réaxation diminue les contraintes fémoro-tibiale dans le compartiment du genou le plus usé et ralenti l’évolution arthrosique inéluctable de ce compartiment.
Les indications de ces ostéotomies sont peu nombreuses, les résultats environ : 70% de bons résultats après 10 ans.

2) Lorsque l’usure est de plus de 50%

a) Si la déformation du tibia est minime :
Inferieure ou egal à 5° et si l’usure ne touche qu’un seul compartiment sur un genou stable avec un ligament croisé antérieur intact et, on peut proposer une prothèse unicompartimental qui resurface un seul compartiment du genou. Les indications de ces prothèses sont rares.
Ces prothèses ont donné de grands espoirs car les résultats à court terme sont très bons mais elles ont aussi donné des désillusions car l’espérance de vie de ces prothèses est limitée , il existe beaucoup d’échecs après 10 ans dus à l’usure inéluctable du plateau tibial en polyéthylène de la prothèse.
b) Lorsque le genou est très déformé (l’usure aggrave la déformation) et parfois instable chez des patients de plus de 60 ans, la prothèse totale du genou est indiquée.
Le but de ces prothèses est d’obtenir un genou non douloureux avec un axe restauré, un genou stable et une mobilité supérieure à 120° ce qui permet de monter et de descendre des escaliers normalement.
Actuellement, on utilise des prothèses semi-contraintes ne conservant pas les ligaments croisés, il s’agit de prothèses de resurfacage remplaçant les cartilages de l’extrémité inférieure du fémur et de l’extrémité supérieure du tibia et permettant de pallier les déficits ligamentaires .
L’utilisation d’un plateau en polyéthylène mobile sur un plateau métallique fixé au tibia permet de diminuer les contraintes en rotation au niveau de l’interligne articulaire et donc de diminuer l’usure du polyéthylène du plateau tibial.
L’amélioration de l’ancillaire de mise en place de ces prothèses permet de corriger de très grandes déformations, de retrouver un équilibre ligamentaire et de repositionner un interligne articulaire perpendiculaire à l’axe du membre inférieur.
Un bilan de l’état général doit être effectué avant la mise en place de ces prothèses. La récupération sanguine pendant l’intervention est permise grâce à un appareil que l’on appelle le Cell Saver qui récupère le sang pendant l’intervention et permet de le réinjecter immédiatement dans la circulation du patient.
Le résultat de ces prothèses est très bon avec plus de 90% de bons résultats à 20 ans si la prothèse est bien positionnée.
L’arthrose fémoro-patellaire isolée c’est à dire l’arthrose de la rotule est rare. Son traitement est le plus souvent médical et consiste en des anti-inflammatoires, des infiltrations en cas d’hydarthrose et de la kinésithérapie avec stretching (étirements sans musculation).
Il existe des prothèses fémoro-patellaires isolées (prothèse de rotule) qui sont peu posées.

DiaporamaProthèse du genou

Video de la PTG:Prothèse du genou.

Prothèse du genou - mise en place avec le robot Mako

Video de la PTH:Prothèse du genou.

Prothèse du genou - mise en place avec le robot Mako

Entorse dugenou.


Ligaments et menisques du genou.

Environ 15000 skieurs sont victimes d’entorses du genou par an (1/3 des accidents en ski alpin). L’entorse est bénigne s’il y a uiquement une distension ou une rupture du ligament latéral interne ou externe du genou.
L’entorse est grave s’il y a une rupture du ligament croisé antérieur associée ou non à une lésion d’un ligament latéral.
La rupture du ligament croisé antérieur représente environ 50% des entorses du genou, elle est en constante augmentation depuis des années malgré l’arrivée du ski parabolique et l’amélioration des fixations.
Le LCA est un ligament court d’un peu plus de 4 cm, il unit l’extrémité inférieure du fémur à l’extrémité supérieure du tibia et ASSURE la stabilité du genou dans le plan antéro-postérieure et horizontale.
La rupture survient le plus souvent chez l’adulte et surtout la femme (2 x plus que l’homme) pour des raisons anatomiques, l’espace inter-condylien où se trouve le LCA est plus étroit et le ligament plus fin donc moins résistant.

Le mécanisme de l’entorse.

Le ski mesure plus d’1 m 50 et ce bras de LEVIER considérable provoque des contraintes au niveau du genou, le ski impose des mouvements de rotation au niveau du genou qui ne sont pas habituels.
Les ligaments du genou contrôlent la rotation du genou et au delà de 15° de torsion, surtout lorsque le membre est en extension, il peuvent se rompre.
Lors d’une chute, le ski part en rotation interne, le corps se tourne vers l’extérieur, toute cette force de torsion se retrouve sur le LCA.
Une autre cause de rupture peut être la réception brutale d’un saut.

Entorse dugenou.


Ligaments et menisques du genou.

Environ 15000 skieurs sont victimes d’entorses du genou par an (1/3 des accidents en ski alpin). L’entorse est bénigne s’il y a uiquement une distension ou une rupture du ligament latéral interne ou externe du genou.
L’entorse est grave s’il y a une rupture du ligament croisé antérieur associée ou non à une lésion d’un ligament latéral.
La rupture du ligament croisé antérieur représente environ 50% des entorses du genou, elle est en constante augmentation depuis des années malgré l’arrivée du ski parabolique et l’amélioration des fixations.
Le LCA est un ligament court d’un peu plus de 4 cm, il unit l’extrémité inférieure du fémur à l’extrémité supérieure du tibia et ASSURE la stabilité du genou dans le plan antéro-postérieure et horizontale.
La rupture survient le plus souvent chez l’adulte et surtout la femme (2 x plus que l’homme) pour des raisons anatomiques, l’espace inter-condylien où se trouve le LCA est plus étroit et le ligament plus fin donc moins résistant.

Le mécanisme de l’entorse.

Le ski mesure plus d’1 m 50 et ce bras de LEVIER considérable provoque des contraintes au niveau du genou, le ski impose des mouvements de rotation au niveau du genou qui ne sont pas habituels.
Les ligaments du genou contrôlent la rotation du genou et au delà de 15° de torsion, surtout lorsque le membre est en extension, il peuvent se rompre.
Lors d’une chute, le ski part en rotation interne, le corps se tourne vers l’extérieur, toute cette force de torsion se retrouve sur le LCA.
Une autre cause de rupture peut être la réception brutale d’un saut.

Les symptômes desentorses du genou.


1) Quand il s’agit d’une entorse bénigne, douleur le long du trajet du ligament latéral interne ou externe sans laxité du genou importante.
2) Quand le LCA se déchire : un bruit sec survient puis apparaît une douleur dans le genou s’accompagnant d’une hémarthrose (saignement interne dans le genou) SUIVI d’une instabilité.
Ces symptômes confirment dans 90% des cas une rupture du LCA.
L’examen recherche un signe de tiroir en extension (signe de Trillat Lachman) et une laxité latérale. Une IRM est nécessaire pour localiser la rupture du LCA et rechercher des lésions associées des ligaments latéraux ou des ménisques.

Conséquences.


La rupture du LCA perturbe la cinématique du genou, le condyle fémoral n’est plus guidé sur le tibia, il se produit un glissement vers l’avant du tibia puis un ressaut du tibia revenant brutalement en arrière (le Jerk test) créant une instabilité du genou.
Secondairement, des lésions dégénératives méniscales et cartilagineuses apparaissent.

Traitement des
entorses du genou.


1) Les entorses bénignes : entorse du ligament latéral interne ou ligament latéral externe sans rupture du LCA, sont traitées par une attelle en extension 3 semaines puis des séances de rééducation, les ligaments latéraux cicatrisent le plus souvent sans intervention chirurgicale.
2) Par contre, lors de la déchirure du LCA, la vascularisation de ce ligament est détruite, le ligament nécrose, il ne sera donc pas possible de le suturer, il faudra le reconstruire par une greffe tendineuse:
Les greffons tendineux proviennent le plus souvent soit:• du tendon rotulien (intervention de Kenneth Jones).• des tendons ischio-jambiers (demi tendineux, couturier).
Cette intervention peut se faire sous arthroscopie.
En post opératoire, l’appui est autorisé avec une attelle durant 3 semaines. la rééducation du genou est immédiatement débutée.
• Les indications de la reconstruction du LCA: En général les sportifs de moins de 50 ans, qui désirent reprendre des sports de pivot comme le ski, le football, le tennis.• Les résultats de ces techniques chirurgicales: actuellement plus de 90% de bons résultats à 15 ans.

Les symptômes des entorses du genou.


1) Quand il s’agit d’une entorse bénigne, douleur le long du trajet du ligament latéral interne ou externe sans laxité du genou importante.
2) Quand le LCA se déchire : un bruit sec survient puis apparaît une douleur dans le genou s’accompagnant d’une hémarthrose (saignement interne dans le genou) SUIVI d’une instabilité.
Ces symptômes confirment dans 90% des cas une rupture du LCA.
L’examen recherche un signe de tiroir en extension (signe de Trillat Lachman) et une laxité latérale. Une IRM est nécessaire pour localiser la rupture du LCA et rechercher des lésions associées des ligaments latéraux ou des ménisques.

Conséquences.


La rupture du LCA perturbe la cinématique du genou, le condyle fémoral n’est plus guidé sur le tibia, il se produit un glissement vers l’avant du tibia puis un ressaut du tibia revenant brutalement en arrière (le Jerk test) créant une instabilité du genou.
Secondairement, des lésions dégénératives méniscales et cartilagineuses apparaissent.

Traitement des entorses du genou.


1) Les entorses bénignes : entorse du ligament latéral interne ou ligament latéral externe sans rupture du LCA, sont traitées par une attelle en extension 3 semaines puis des séances de rééducation, les ligaments latéraux cicatrisent le plus souvent sans intervention chirurgicale.
2) Par contre, lors de la déchirure du LCA, la vascularisation de ce ligament est détruite, le ligament nécrose, il ne sera donc pas possible de le suturer, il faudra le reconstruire par une greffe tendineuse:
Les greffons tendineux proviennent le plus souvent soit:• du tendon rotulien (intervention de Kenneth Jones).• des tendons ischio-jambiers (demi tendineux, couturier).
Cette intervention peut se faire sous arthroscopie.
En post opératoire, l’appui est autorisé avec une attelle durant 3 semaines. la rééducation du genou est immédiatement débutée.
• Les indications de la reconstruction du LCA: En général les sportifs de moins de 50 ans, qui désirent reprendre des sports de pivot comme le ski, le football, le tennis.• Les résultats de ces techniques chirurgicales: actuellement plus de 90% de bons résultats à 15 ans.

Prévention des entorses du genou.


1) Muscler ses membres inférieurs:

Le ski sollicite énormément les muscles des membres inférieurs. Plus les membres inférieurs sont musclés, plus LE RISQUE d’entorse est faible.
Le skieur doit renforcer la muculature de ses membres inférieurs plusieurs semaines avant la pratique du ski ainsi il résistera mieux à la fatigue.
Le verrouillage musculaire des genoux repose sur l’équilibre entre 2 groupes musculaires:
• Le quadriceps (à la partie antérieure de la cuisse).• Les ischio- jambiers (à la partie postérieure de la cuisse).
Le cardio training permet de lutter contre la fatigue musculaire. Il est conseiller de pratiquer le vélo, la natation, le rameur en salle, la corde à sauter, la marche à vive allure et la course à pied.
Il faut aussi travailler l’équilibre pour améliorer la proprioception du genou en faisant des exercices sur un pied,en effectuant des rotations du buste, des sauts à pieds joints et des bonds latéraux ou utiliser un plateau instable. Juste avant la pratique du ski, il faut aussi s’échauffer car un muscle préparé résiste mieux à l’effort.

2) Le réglage adapté des fixations est capital:

Une entorse du genou sur deux est due à une fixation mal réglée. Si les fixations sont trop serrées, elles ne se débloquent pas, les contraintes sont répercutées dans le genou. Le réglage doit se faire selon la taille, l’âge, le poids, le sexe, le niveau technique du skieur, la longueur de la semelle de la chaussure de ski en utilisant des barèmes BIEN établis.

Prévention des entorses du genou.


1) Muscler ses membres inférieurs:

Le ski sollicite énormément les muscles des membres inférieurs. Plus les membres inférieurs sont musclés, plus LE RISQUE d’entorse est faible.
Le skieur doit renforcer la muculature de ses membres inférieurs plusieurs semaines avant la pratique du ski ainsi il résistera mieux à la fatigue.
Le verrouillage musculaire des genoux repose sur l’équilibre entre 2 groupes musculaires:
• Le quadriceps (à la partie antérieure de la cuisse).• Les ischio- jambiers (à la partie postérieure de la cuisse).
Le cardio training permet de lutter contre la fatigue musculaire. Il est conseiller de pratiquer le vélo, la natation, le rameur en salle, la corde à sauter, la marche à vive allure et la course à pied.
Il faut aussi travailler l’équilibre pour améliorer la proprioception du genou en faisant des exercices sur un pied,en effectuant des rotations du buste, des sauts à pieds joints et des bonds latéraux ou utiliser un plateau instable. Juste avant la pratique du ski, il faut aussi s’échauffer car un muscle préparé résiste mieux à l’effort.

2) Le réglage adapté des fixations est capital:

Une entorse du genou sur deux est due à une fixation mal réglée. Si les fixations sont trop serrées, elles ne se débloquent pas, les contraintes sont répercutées dans le genou. Le réglage doit se faire selon la taille, l’âge, le poids, le sexe, le niveau technique du skieur, la longueur de la semelle de la chaussure de ski en utilisant des barèmes BIEN établis.